Comment créer un sentiment de solidarité au sein d’une organisation comptant plus de 10.000 collaborateurs ? Voilà la question que la Ville de Gand a soumise à The Fat Lady. La réponse ? Gentsters.
La mission était claire : veillez à ce que nos 10.000 collaborateurs se sentent davantage soudés. Pour y parvenir, on a choisi de s’inspirer de leur passion commune : Gand. De cette idée est né ‘Gentsters’, un concept qui cristallise le sentiment commun que partagent 10.000 collègues.
Un magazine du personnel piloté par les rubriques
Un des points de départ de cette approche était le magazine du personnel ‘Gentsters’, une publication axée tant sur des rubriques surprenantes que sur les collaborateurs. La rubrique ‘Gij Gentster Gij!’ braque à chaque fois les projecteurs sur un employé qui s’engage au service de la ville, tandis que ‘Stelling’ invite les Gantois à participer à des discussions lancées sur la page Intranet de Gentsters.
Du fait que le magazine du personnel s’articule autour de rubriques, les récits des employés sont abordés de façon reconnaissable. C’est justement parce qu’il place les collaborateurs sous les feux de la rampe que le titre devient un véritable ‘compagnon de route’.
Un beau succès
Les résultats sont plus que probants, par exemple en matière d’employer branding. Le magazine peint un joli tableau de la relation étroite qui existe entre les collaborateurs de la Ville de Gand. C’est quelque chose qui ne peut qu’être bénéfique lors d’entrevues avec de futurs postulants. En outre, on mise aussi sur du merchandising ‘Gentsters’, fournissant enfin une alternative au hype ‘9000’.
L’approche en ligne aussi porte ses fruits. Ainsi, des événements internes et une page Intranet contribuent au sentiment de communauté partagé. Après 9 mois de campagne, le compteur du groupe Gentsters affiche déjà plus de 1.000 membres. Bien joué !
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